La chorégraphe guide les élèves dans la création d’une gestuelle que ces derniers développent sur le thème de l’image qu’ils ont d’eux-mêmes. Au début de la séance, les élèves dessinent ou écrivent les parties de leur corps qu’ils aiment et celles qu’ils aiment moins. Ensuite, pour chaque partie (maximum six), ils créent une gestuelle qui les représente.

La deuxième étape consiste à former des petits groupes de cinq à six élèves et à créer un enchaînement commun. Les élèves doivent enseigner leur mouvement et en expliquer la source aux membres de leur petit groupe.

Pour la troisième et dernière étape, chaque enchaînement est présenté devant la classe. Une petite discussion sur les impressions et les apprentissages termine l’atelier.

Le rôle de la chorégraphe consiste à aider les élèves et à démontrer comment on peut s’inspirer d’un thème pour créer du mouvement et une chorégraphie. Au début de la séance, les jeunes danseurs ont habituellement de la difficulté à créer des mouvements à partir d’un dessin ou avec des mots. Le but de cet atelier est d’élargir l’horizon des possibilités de création de mouvement et d’offrir des outils pour générer de la gestuelle, le tout à travers un thème qui touche les participants quotidiennement.

Cet atelier demande plusieurs visites, soit un minimum de trois visites et un maximum de six visites.
Le but de cette série d’ateliers est de créer une chorégraphie adaptée pour la caméra. Cette chorégraphie est ensuite filmée pour être présentée aux élèves. L’enseignant et la chorégraphe pourront décider de la manière de présenter la vidéo : visionnement de manière informelle avec le groupe seulement, visionnement devant d’autres classes ou visionnement plus formel lors d’une projection organisée.
Première visite : Lors d’une première période, la chorégraphe guide les élèves dans la création d’une gestuelle en fonction de l’image qu’ils ont d’eux-mêmes. Au début de la séance, les élèves dessinent ou écrivent les parties de leur corps qu’ils aiment et celles qu’ils aiment moins. Ensuite, pour chaque partie du corps (maximum six), ils doivent créer une gestuelle qui les représente.
La deuxième étape consiste à former des petits groupes de cinq à six élèves et, à l’aide de leur gestuelle, à créer un enchaînement commun. Les élèves doivent enseigner leurs mouvements et en expliquer la source aux membres de leur petit groupe.
La troisième et dernière étape consiste à présenter devant la classe chaque enchaînement de chaque équipe. Une petite discussion sur les impressions et les apprentissages termine l’atelier.
Le rôle de la chorégraphe est d’aider et de démontrer comment on peut s’inspirer d’un thème pour créer du mouvement et une chorégraphie. En début de séance, habituellement, les élèves ont de la difficulté à créer des mouvements à partir d’un dessin ou de mots. Grâce à des exemples et à de l’aide individuelle, ceux-ci arrivent à cheminer.
Le but de cette activité est d’élargir l’horizon de possibilités de création de mouvements et d’offrir des outils pour générer de la gestuelle, le tout à travers un thème qui touche les participants quotidiennement.

Deuxième visite : La mise en place et la révision de la gestuelle
La chorégraphe agence les séquences de mouvements sur une musique pour que chaque élève ait une partition claire.

Troisième visite : La répétition et la sélection d’un lieu de tournage
La chorégraphe travaille sur la bonne exécution du mouvement en donnant des conseils aux élèves. Collectivement, le groupe trouve et choisit un lieu intéressant dans l’école pour filmer la chorégraphie.

Quatrième visite : Le tournage
Cette étape est réservée au filmage de la chorégraphie.

Cinquième visite : Projection et retour sur l’expérience

*Une sixième visite est bénéfique pour peaufiner la chorégraphie et travailler sur l’interprétation.
**Si l’école ne désire que trois visites, les visites 2 et 3 sont combinées et la visite 5 est supprimée.